Riches parce qu’ils n’ont jamais rien possédé...
Quand l’heure fut venue de saluer “La Boudeuse” peu avant 15h30, et qu’elle ne se détache du quai où elle était amarrée à toute notre île depuis quelques semaines, heureusement que les officiels que nous étions (représentants de l’Etat, de la Région, de la CCIR et de la Ville du Port) n’avaient pas sorti cravate et veste !
Quelle tête aurions-nous fait quand Patrice Franceschi, pieds nus, pantalon et tee-shirt du Capitaine qui, depuis le matin, commandait déjà son bateau, s’approcha à pas (…)