Koud’kongn de Raymond Mollard
Tchao Pantin !...
J’écris ces lignes quelques heures avant que le pensionnaire de l’Elysée n’apparaisse sur les étranges lucarnes pour confirmer qu’il jette l’éponge. Un non-événement qui ne produira sans doute qu’un simple “pschittt” dans le concert symphonique de la campagne actuelle. Mais puisqu’ il aura été le seul homme politique de droite pour qui, pleinement libre et totalement contraint, j’ai dû un jour me résoudre à voter, qu’il me permette de consacrer quelques mots à l’exigu héritage qu’il (…)