“Sans pitié ni pourquoi...”

Karine Alfirevic apparaît alors au bout de son immense talent, son texte au fond du cœur pour nous inviter simplement, seulement, sans doute aussi gravement, à lever nos yeux vers le ciel et compter les étoiles : « Il n’y en a pas assez pour représenter les 2000 enfants qui, ce soir comme chaque soir dans le monde, sont morts en silence, dans l’indifférence... ». Magine à ou : des cordes des guitares, des gorges des rouler, clavier, kayanm et autre congas de Gilbert Pounia et de ses (…)

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