Mon ami le mécanicien … et les trente-cinq heures
Ce matin-là, en rendant visite à mon ami le mécanicien, je l’ai trouvé tout rayonnant au milieu de sa cour, parmi ses fleurs et la kyrielle de pots qu’il transportait et rangeait avec infiniment de soin et de précaution, presque amoureusement. Dans ce cadre merveilleux, plein de fraîcheur, jamais je ne l’avais vu aussi heureux !
Comme je lui demandais comment il se faisait qu’il n’était pas sur son lieu de travail habituel, il m’a répondu qu’il était en congé, ou plus exactement qu’il (…)