Théo Hilarion : deux gendarmes renvoyés devant un jury populaire
Treize ans après, la justice reconnaît le crime
Théo Hilarion doit aujourd’hui vivre en France pour des raisons médicales.
(photo d’archives)
« Lorsque qu’une cause est juste, lorsque l’on a la justice de son côté, il ne faut jamais baisser les bras ». Pour Me Remi Boniface, c’est un enseignement de l’annonce par la Chambre d’instruction du renvoi en Cour d’Assises de deux gendarmes en cause dans la mutilation de Théo Hilarion. Cette décision ouvre la voie à la tenue d’un procès en réparation d’un crime, qui pourra se tenir (…)