Bien chère Françoise Adam de Villiers...
Vous ne l’ignorez sûrement pas, chère Françoise : c’est avec plaisir - parfois avec délectation - que je lis les papiers que vous écrivez dans “Eglise à La Réunion”.
Déjà, quand, il y a belle lurette, vous étiez au “Quotidien” - vous savez, ce journal pour lequel nous nous avons été nombreux en tout début à nous mobiliser et à descendre dans la rue - j’appréciais vos articles. Et vous vous souvenez sans doute toujours de la page que vous aviez un samedi consacrée aux hommes politiques (…)