di sak na
Des vœux… aux ’textos’
Pour tout un monde, borné à l’immédiat, esclave de l’instant qui passe et qui ne veut pas regarder plus loin que le bout de son nez, comme pour tant d’autres, ceux-là condamnés à vivre, ou à survivre, au jour le jour, avec, nous dit l’O.N.U., moins de dix francs par jour, quel sens peuvent encore avoir la célébration du jour de l’an et les vœux de bonne année ?
C’est à se demander, pour les premiers, si ce n’est pas une manière très habile de ne vouloir rien changer du tout, en se (…)