Le FMI, médecin malade
L’élection, le 28 septembre, de Dominique Strauss-Kahn à la tête du Fonds monétaire international (FMI) témoigne de la rencontre inattendue entre deux éclopés : une gauche européenne en faillite et une organisation financière internationale disqualifiée.
Il faut que le Parti socialiste (PS) soit dans un bien piteux état pour que l’accession d’un de ses dirigeants à la tête d’une institution qui sert d’instrument au capitalisme le plus doctrinaire puisse être présenté par M. François (…)