Le président du G.R.A.H.TE.R. adresse une lettre à Me Saïd Larifou

Cher Maître, Je n’oublierai pas notre entretien à l’aéroport Roland Garros. Vous étiez sur le départ pour les Comores. Je vous ai écouté avec attention. Quel courage vous avez pour défendre vos idées ! Votre double nationalité vous le permet. Je n’ai pas à porter de jugement de valeur. Les Comores, c’est aussi votre pays. Là, il s’agit de votre état de santé. Je suis un opéré du cœur, je sais la souffrance qu’on endure. L’information en ma possession ne me permet pas de parler (…)

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