Quand Monsieur Sarkozy aura découvert ça...
J’aurais été Président de la République, j’aurais été gêné d’augmenter mon salaire. J’aurais davantage considéré ma fonction comme un sacerdoce et non pas comme un job qui mérite sa juste rétribution. Et puis, je n’aurais sûrement pas dit qu’au nom de la « transparence » - elle a parfois bon dos, celle-la - je ne cache pas que je me colle une majo à 140%, histoire que je n’ai pas le plus petit salaire de mon gouvernement. Jamais je me serai laissé à donner à penser que mon engagement se (…)