Répétons-le, répétons-le encore
Que dans un journal local, Maurice Cérisola soit traité de « Président de l’ADIR, entre autres machins péi... », voilà qui est bien plus insupportable que de se faire qualifier de « grande âme » avec un mépris amusé et condescendant par un grand journaliste. L’ADIR, “machin péi”, voilà qui, me semble-t-il, relève pour le moins d’une appréciation bien cavalière du travail fourni par les autres, réunis depuis plus de vingt ans dans leur association pour le développement industriel de La (…)