La « contraception d’urgence » désormais plus accessible
Un point d’importance, car ces dernières sont encore au nombre de 200 000 chaque année en France ! Heureusement la France compte aujourd’hui moins d’un décès par an lié à sa pratique, contre plus de 300 dans les années 60. Certes la légalisation de l’IVG a permis un encadrement médical entraînant une réduction spectaculaire des complications.
Le Dr Gabriel André, gynécologue obstétricien à Strasbourg, souligne qu’à l’évidence « mieux vaut recourir à la pilule du lendemain qu’à l’IVG. Nous (…)