À la recherche des cerveaux en fuite
Ils sont environ 2.000 au Royaume-Uni
La saignée des universitaires et des chercheurs algériens porte un nom : la fuite des cerveaux. Arrivés en Grande-Bretagne comme boursiers, beaucoup sont devenus des sommités. Leur matière grise n’est pas cotée en Bourse mais dans les universités et les grands groupes industriels. Quel est leur profil, leur parcours et en quoi consiste leur génie ? Pourquoi ne sont-ils pas retournés en Algérie et quel regard portent-ils sur elle ? Portraits.
Ce sont d’illustres inconnus en Algérie. Des (…)