Chiche, M. le Préfet, chiche !
On peut - raisonnablement - s’étonner des propos tenus par le préfet devant le Conseil Général à la mi-décembre. On peut même s’offusquer de la brutalité, voire de la violence de ses propos. On peut ne pas s’étonner du silence des conseillers généraux, à commencer par la présidente, “tétanisés” pour reprendre l’expression d’un journaliste, devant ce que d’aucuns auraient pu assimiler à une agression, voire à du mépris. Encore que l’on peut considérer, non sans raison, que chacun est dans son (…)