Quatre pays peuvent faire capoter le « Traité simplifié »
La harpe d’or, symbole de l’Irlande.
« Promis, on ne fera pas de référendum », ont juré, la main sur le cœur, Français, Hollandais et Tchèques durant la négociation du Traité de Lisbonne en juin dernier. Nicolas Sarkozy est alors rentré à Paris annoncer que le nouveau traité européen serait adopté avant la fin de l’année 2007. Outre le fait qu’il avait totalement oublié que la procédure parlementaire française l’empêcherait de tenir ce délai, le nouveau Président avait négligé que, selon (…)