Destination santé
Les premiers patients, des soldats livrés à eux-mêmes sur le champ de bataille
Chaque année en France - “en dehors du protocole multicentrique” - seule une cinquantaine de patients bénéficieraient de la larvothérapie. « A chaque fois, nous demandons à l’AFSSaPS une Autorisation temporaire d’utilisation (ATU) », explique Anne Dompmartin. Ce traitement rare comporte à ses yeux plusieurs avantages majeurs : « la facilité du soin, puisque le personnel infirmier n’a pas à décaper la plaie. Etape douloureuse, mais indispensable, ce temps de détersion est assuré par les (…)