Destination santé
Petit dormeur à 2 ans, gros pépère à 6...
Cette augmentation du risque de surpoids chez les enfants qui dorment trop peu aurait une explication hormonale. « Lorsque nous dormons moins, nous produisons plus de ghréline, une hormone secrétée par l’estomac et qui stimule l’appétit », enchaîne le Pr Montplaisir. Ce constat corrobore d’ailleurs les résultats récemment publiés par une équipe française. Et ne comptons pas sur la sieste pour remplacer le temps de sommeil nocturne perdu. « Elle le compense d’autant moins que les enfants qui (…)