Car il fallait bien à un moment trancher
Je comprends parfaitement le sentiment d’incompréhension que peuvent exprimer les industriels réunionnais qui fabriquent les alcools. Et quand vendredi dernier, juste après les obsèques de Marie Françoise Dupuis à Saint Gilles-les-Bains, j’ai pu échanger quelques instants avec l’un d’eux (Xavier Thiéblin en l’occurrence), il m’est bien apparu qu’il existe une certaine forme d’inquiétude chez ceux-là. Pourtant, parce que mon interlocuteur -puissamment épaulé par son épouse Odile- a surtout (…)