Vivement l’unité de notre peuple !
Comment ne pas passer par des états d’âme amers quand on est « Zorèy » et qu’on lit sur les murs de la ville « Zorèy déor » ? Comment alors ne pas se sentir rejeté par une population dont on croyait qu’elle vous accueillait les bras ouverts ?
Que dire de la Mahoraise blessée par de multiples « Komor déor » s’étalant ici et là ? Pour être moins directes, les attitudes de certains d’entre nous n’en sont pas moins porteuses de conséquences pénibles pour d’autres personnes. La descendante et (…)