La violence institutionnelle à l’épreuve de la réalité électorale
0 sur 4 pour Didier Robert
En mars 2008, les électeurs décident qu’aucun parti ne détiendra seul la majorité au Conseil général. La nouvelle majorité ne peut donc qu’être un rassemblement autour d’un projet susceptible de faire sauter les clivages. C’est là qu’entre en scène un stratège qui se fait fort de faire adhérer une majorité du Conseil général autour d’une ligne sectaire. Dès la première séance plénière de l’assemblée suivant les cantonales, tous les Réunionnais pouvait voir l’ampleur de l’échec de cette (…)