Bien triste humeur dans le ’JIR’
Les deux journalistes semblent partager la même conception de la dignité, estimant à une poignée de billets l’honneur de ceux qui subissent la violation des droits civiques fondamentaux. Violations, ajoute le journaliste du "JIR", bien compréhensibles en démocratie : pour M. Talpin, il va de soi que les policiers ne pénètrent pas chez les « suspects » « avec un bouquet de fleurs » ; accepter cet état de chose, nous rassure M. Talpin, n’est pas adhérer à une conception autoritaire des (…)