Après la visite du Ministre de la Défense dans la zone
Kwassa-kwassa : la honte demeure
Les 70 kilomètres qui séparent l’île d’Anjouan (Union des Comores) de Mayotte recouvrent un véritable cimetière marin, où reposent les hommes, les femmes et les enfants qui ont trouvé la mort lors de traversées dans des embarcations de fortune, tristement connues sous le nom de “kwassa-kwassa”.
La responsabilité de ces disparitions tragiques est entièrement imputable à la politique menée par la France, tant à l’égard de la règle internationale qu’en matière migratoire. On attendait de la (…)