Maloya lé pa mol

Nous le savions. Nous le criions partout. Le chantions, notre maloya et le dansions là où c’était possible. Du moins ce qu’il en restait, tant il a été malmené, parfois ignoré, maintes fois réprimé. À l’époque, c’est-à-dire pas si longtemps que cela, une trentaine d’années, maloya était encore une affaire de classe. Celle des gens d’en bas, celle des champs de cannes de Ravine des Cabris-400, de Saint-André, de Saint-Benoît, de Mont-Vert. Celle également d’une plage de Saint-Gilles, en 1976, (…)

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