« Je vous les offre, Madame, pour ce que vous avez dans votre porte monnaie »
J’ai bien envie de glisser ici le récit de ce coup de fil que j’ai reçu jeudi dernier 24 décembre, en fin d’après-midi. Mon interlocutrice est une dionysienne, propriétaire d‘un magasin de vêtements de niveau élevé. C’est une amie. Et, ce jour-là, elle me confie vouloir partager avec moi et mon épouse un immense bonheur qu’elle vient de vivre, il y a quelques dizaines de minutes seulement. Une dame de condition très modeste était entrée dans sa boutique et admirait une chemise dont le prix (…)