Un des mots d’ordre de la Conférence de Copenhague va s’appliquer
Un tribunal pour juger les responsables du changement climatique
Durant les deux semaines de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique, constamment un mot d’ordre était porté par les ONG et la grande majorité des délégations participants aux débats : les pays riches doivent payer la dette climatique.
Ce mot d’ordre se fonde sur un examen de faits historique. Personne ne conteste, même pas le négociateur en chef des États-Unis à Copenhague, que c’est de l’Occident que sont venues les premières émissions massives de gaz à effet de serre. (…)