La crise de l’ARAST
Nouvel épisode du coup de force permanent
Après la chute dramatique de l’ARAST, on pouvait penser que deux questions s’imposeraient à l’ensemble des acteurs politiques concernés, c’est-à-dire en premier lieu les Conseillers généraux.
Il aurait été naturel à que la faillite de cette association qui employait plus de 1.250 salariés et était dotée d’un budget approchant les 30 millions d’euros donne lieu à une enquête sur la responsabilité des dirigeants de la structure. Surtout, on aurait pu croire que l’ensemble des membres de (…)