George Sand, la Saint-Pauloise
J’avais 13 ans. J’étais en classe de fin d’études 2. Mon instituteur, Emmanuel Michel, avait amené dans sa classe une partie de sa bibliothèque personnelle. Il nous incitait à lire. Je me suis plié volontiers à cette exigence, d’autant plus que mon père, qui a eu son certificat d’études primaires en 1922, était un grand lecteur. Parmi les nombreux livres que j’ai empruntés à l’école, il y avait un de George Sand, "La Mare au Diable". J’ai apprécié, j’ai aimé l’auteur.
Vingt sept ans plus (…)