De la désespérance d’un petit entrepreneur à la lucidité affichée de la CAPEB

Il y a évidemment de la désespérance dans le geste de ce petit entrepreneur-terrassier qui, samedi matin, dépose son énorme pelle chenillée sur le terre-plein situé face aux locaux de la Région. « On ne peut pas attendre, confie-t-il à Jean Noël Fortier du "Quotidien". C’est maintenant que nous devons travailler ». Hermann Elise n’est pas amnésique. Il n’ignore pas que, s’il y a une seule collectivité qui le reçoit et qui essaye avec son mouvement VTR de bâtir quelque chose qui pourrait (…)

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