Arrestation et lacrymogène : violences policières en plein Ramadan
Scandale devant la mosquée de Saint-Denis
« Quels que soient les torts des uns et des autres, il est inadmissible que des gaz lacrymogène soient tirés devant un lieu de culte en plein ramadan au milieu d’une foule de gens musulmans ou non », commente Ibrahim, la cinquantaine passée. Il est encore sous le coup de l’émotion. Il y a moins d’une demie heure que les faits se sont produits et quelque deux cents personnes de confession musulmane sont encore rassemblées aux abords de la mosquée.
Selon différents témoignages, la prière du (…)