Zamal ou le mal qu’on se fait

Zamal. Le mot contient un autre mot, qui l’explique — si besoin était. Oui, notre zamal contient le mal. Qu’on se le dise ! Qu’on l’appelle zamal, gandia, ganja, cannabis, haschisch, marijuana, chanvre indien ou tout simplement herbe, qu’on l’utilise pour ses soi-disant propriétés thérapeutiques, raison pour laquelle la Californie, par exemple, vient de voter pour (on dit qu’il calme la douleur, les rhumatismes, soigne les insomnies, désinfecte, cicatrise, etc), que de soi-disant artistes (…)

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