Filière canne : vente du pôle spiritueux de Quartier Français par l’usinier
La Chambre d’agriculture pour le partage des richesses des alcools
« Tereos, en s’appropriant les usines sucrières, a cru qu’il était dans un pays conquis. Il n’a peut-être pas compris que la filière canne appartient à l’ensemble des Réunionnais et que des planteurs constituent un maillon essentiel qu’il ne faut pas sous-estimer », avertit Jean-Yves Minatchy. « Tereos et la Martiniquaise ont peut-être oublié que la mélasse produite ne se trouve pas "sous un galet". Ce sont des milliers de planteurs qui travaillent, dans des conditions difficiles, pour (…)