Après l’occupation de l’Irak, le tour de la Syrie ?
Confronté aux accusations de Washington selon lesquelles son pays abriterait des dirigeants irakiens et dissimulerait des armes chimiques, ce que Damas a démenti catégoriquement, le président syrien Bachar el-Assad s’est entretenu lundi avec des émissaires britannique et saoudien.
« Bien entendu, la Syrie ne possède pas d’armes chimiques. Ils (les Américains - NDLR) parlent depuis des années d’armes de destruction massive en Irak mais, jusqu’à présent, l’existence de ces armes n’a pas été (…)