À Florence
Ma petite sœur,
Deux secondes, j’avais oublié. Tu ne respires plus Florence.
Tu ne verras plus la dernière pub délirante, ne danseras plus la nouvelle entraînante mélodie, mais tu souris toujours lorsque je ris, et tu embellis mes nuits de tes cadeaux de vie, ribambelle de souvenirs, nos soucis nos délires, nos sourires et nos rires.
Et je devrais pleurer ton absence ?
Mais pourquoi donc devrais-je te faire pleurer aussi ?
Je sais que tu es libre. Délivrée et vivante.
Délivrée de (…)