Droits internationaux :
Du principe de non-ingérence au droit d’ingérence
Actuellement, de moins en moins de peuples se sentent représentés par ceux qui constituent "l’État". Ainsi, quand un peuple et ses institutions étatiques ne parlent plus d’une même voix, les États voisins doivent-ils aider le peuple ou l’État ?
C’est toute la question qui se pose. Alors que le glissement se fait de plus en plus net entre le nouvellement créé « droit d’ingérence », et le principe expressément mentionné dans la Charte des Nations Unies (1945), le principe de non-ingérence. (…)