Claude Hoarau répond à nos questions :
« On veut m’abattre pour atteindre le parti. Et quand le parti sera atteint, le peuple n’aura plus son outil de combat. Sans le combat du PCR depuis 50 ans, La Réunion aurait été encore arriérée »
Claude Hoarau, comment expliquez-vous cette recrudescence d’affaires qu’on met sur votre dos ?
- Attention ! Il y a affaires et affaires. Il y a des décisions qui relèvent du mandat que la population m’a confié. Si on n’est pas d’accord, il y a débat, et c’est le peuple qui tranche en définitive, lors des élections. C’est le cas par exemple de l’aide sociale que j’ai attribuée aux plus démunis. C’est la démocratie. Mais, en effet, depuis quelque temps, des magistrats, qui sont des (…)