Brutalité publique ici, manœuvre fine ailleurs : la marque du chef d’un camp politique… Dieu merci, tout le monde n’est pas ainsi à droite.
Parce qu’il a sans doute voulu remplir pleinement le rôle de maire que ses pairs de la grande ville des hauts du Sud lui ont confié lorsque le précédent est devenu, en mars 2010, président du Conseil régional, Paulet Payet vient de connaître la pire des agressions pour un élu : l’humiliation en public et au milieu de l’assemble qu’il préside au motif qu’il ne tiendrait sa légitimité, non pas directement du peuple, mais des circonstances de la vie. Et ce qui s’est passé la semaine dernière au (…)