Les droits ou l’arbitraire ?
Dès ici, convenons que les devoirs restent le socle des droits sans lesquels l’arbitraire régnerait.
En effet, partout, de nos jours, il est question de "crise". Dans ce "fénoir" moderne, on est donc appelé à se demander si cette crise mondiale relève d’une "fatalité" ou au contraire d’un acte arbitraire du genre « car tel était mon bon plaisir ». Allez savoir !
Toujours est-il que la réponse se trouve aux sommets et qu’elle affecte notre pain quotidien !
Devant pareille situation grave, (…)