Sarkozy ou le mépris institutionnalisé

Trois jours avant à Annecy, il les déclarait « écran entre le peuple et le gouvernement ». « Tout le monde veut parler à la place du peuple sans jamais se soucier de ce que le peuple veut, de ce qu’il pense et de ce qu’il décide, comme si le peuple n’était pas assez intelligent, pas assez raisonnable », ajoutait-il. Qui sont ces « corps intermédiaires » qui méritent les foudres du chef d’Etat ? Pour ce dernier, ce sont « les syndicats, les partis, les groupes de pression, les experts et (…)

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