Nout mémwar

’Une chasse aux nègres-marrons’, de Théodore Pavie — 5 —

Déjà le roi le plus puissant de Madagascar, Radama, ne voulait plus qu’on exportât des Malgaches ; le gouverneur anglais de l’île de France lui promettait par compensation une somme de quarante mille piastres par an, oui, deux cent mille livres fortes, quatre cent mille livres, monnaie de l’île ! Il venait encore des Yolofs, des Yambanes, des Makondés, beaux noirs de pioche, un peu difficiles à tenir ; des Cafres, qui aiment mieux garder les vaches que labourer la terre, et préfèrent de (…)

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