L’impunité pour le candidat de l’UMP
Parce qu’il rapporte à Sarkozy ses propos, un jeune jeté en cellule de garde à vue
Le 23 février 2008, Sarkozy visite le Salon de l’agriculture et il se précipite sur la foule pour serrer des mains. Mais un citoyen décide de manifester son désaccord avec la politique de Sarkozy en refusant de lui serrer la main. Alors Sarkozy décide de l’insulter en lui disant : "casse-toi pov’con". Puis le chef de l’UMP est reparti comme si de rien n’était, protégé par les policiers.
Quatre ans plus tard, un citoyen décide de renvoyer son insulte à Sarkozy. Mercredi, à son arrivée à La (…)