Nout mémwar

’Une chasse aux nègres-marrons’, de Théodore Pavie — 9 —

Dans ces temps-là, messieurs, continua Maurice, il y aurait eu quelque danger à courir les bois comme nous faisons aujourd’hui pour cueillir des plantes. Les nègres fugitifs occupaient les hauteurs que nous appelons ici des plaines : ce sont des plateaux plus ou moins élevés, cachés entre des montagnes à pic ; des espaces unis, défendus par des ravins, entourés de précipices abrupts qui ressemblent aux fossés d’une citadelle. Il n’était pas impossible de pénétrer jusqu’à ces régions (…)

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