Festival du film d’Afrique et des Îles
Plaidoyer poétique pour un cinéma différent
L’Afrique essaime sur grand écran. Déclaré ouvert mardi soir au Port, en présence des invités, des membres des jurys et d’un petit public de cinéphiles, le deuxième Festival du film d’Afrique et des Îles a emporté le public dans un monde fantasque et enfantin d’une grande poésie, avec le court-métrage “Petite Lumière”, du Sénégalais Alain Gomis et une fiction sud-africaine de toute beauté, “la caméra de bois”, de Ntsahaweni Wa Luruli, co-produite par Richard Green - l’un des invités de cette (…)