Nout mémwar

’Une chasse aux nègres-marrons’, de Théodore Pavie — 25 —

Lorsque l’esquif fut prêt, il s’agit de le transporter jusqu’à l’endroit où la rivière commence à être navigable, et cela la nuit, par des sentiers boueux, par des fondrières, à travers les halliers. Les deux jeunes noirs faisaient là de rudes corvées ; mais quand on travaille pour soi, on ne se plaint jamais : le nègre, si paresseux de sa nature, qui s’endort sous les girofliers dont il cueille le fruit, au milieu des cannes qu’il coupe, ne plaint pas sa peine quand il a dit adieu au (…)

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