Un flot de colère
L’émotion était grande, dimanche dernier au Barachois. La colère s’était accumulée durant toute la semaine, au fil des événements dramatiques que nous avons vécus. Je pense surtout et essentiellement aux familles et proches de nos amis disparus. Tout cela a peut-être poussé à certains excès.
La traduction de cette colère par des journalistes, que je remercie vivement pour leur travail et leur présence ces derniers temps, fut peut-être parfois aussi excessive, bercée dans le même flot de (…)