Nout mémwar
’Les Marrons’, de Louis-Timagène Houat — 24 —
« Ils supposèrent alors que son corps, en tombant, s’était abîmé sur un des rochers avancés du flanc de la montagne, et qu’il y était resté ». (photo d’archives PB)
Assailli par quatre à la fois de ces terribles animaux, et forcé de faire face à leur attaque acharnée, il tenait tête et se défendait avec tout ce qu’il pouvait trouver sous sa main. Mais, tout en se défendant, il cherchait toujours à fuir ; il craignait l’arrivée des chasseurs ; il battait en retraite, et le malheureux (…)