Débat exceptionnel demain à l’Assemblée nationale
Syrie : que vont dire les 7 députés ?
Quelques heures après l’attaque au gaz du 21 août à Damas, trois dirigeants occidentaux ont pris les devants. Le Premier ministre britannique David Cameron a appelé la communauté internationale à intervenir. Le président français François Hollande demandait de « punir » les auteurs de l’attaque qui, d’après Laurent Fabius, ne pouvaient quasiment qu’être le gouvernement syrien. Emboîtant le pas, le président des États-Unis Barack Obama indiquait que son pays allait agir. Au bout d’une (…)