Daniel Lallemand, Alain Bénard et moi...
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Je n’en fais pas mystère : j’apprécie ce qu’écrit Daniel Lallemand. J’apprécie d’autant plus que je n’ignore rien des qualités morales de ce camarade qui eut, en son temps, à subir l’Ordonnance d’octobre 1960, cette “loi” scélérate qui, rappelons-le, rejetait hors de La Réunion "tout fonctionnaire dont le comportement est de nature à troubler l’ordre public". Il en fut victime, uniquement parce qu’il était membre d’un parti politique dont Michel Debré, personnage influent de la (…)