Le courrier des lecteurs du 22 mars 2005
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À propos de la directive Bolkestein
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a jeté un pavé dans la mare des partisans du “oui”, en affirmant, qu’il "n’abandonnerait pas le principe du pays d’origine". Aussitôt, le cœur hypocrite des partisans du “oui” s’est élevé pour s’écrier : "Ce n’est pas M. Barroso qui décide" (Alain Lamassoure, député UMP), "la directive Bolkestein n’est en rien l’enfant putatif de la constitution européenne" (Jean-Marc Ayrault, (…)