À cause d’un coup de pompe...
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À cause d’un coup de pompe que Marc Dorémieux, mon médecin traitant qualifie (mais de quoi il se mêle, celui-là ?) de prévisible, me voilà pour une semaine entière de 10 jours condamné au repos (ça, ça reste à voir !). Après trois journées à ne pas avoir à répondre au téléphone et à ne pas pouvoir honorer mes rendez-vous, je mesure le plaisir de lire.
Je suis entrain de terminer la dernière œuvre de Jacques Vergès (“Rien de ce qui est humain ne m’est étranger” - Journal 2003 - (…)