Quatre ouvriers portugais pour tenter une énorme diversion...
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Installé sur l’étroit plateau du cabinet d’imagerie médicale de la Clinique Jeanne d’Arc, la tête immobilisée par deux petits coussinets, le corps envahi par les tièdes volutes qu’a provoquées l’injection de 50 cc d’ispamiron iodée, je fixais le tomodensitomètre du scanner qui tournait autour de moi et d’où les tubes à rayons X filmaient tous les recoins de ma boîte crânienne. Son silencieux ronron me berçait jusqu’à m’emmener, par la pensée, auprès de ce copain d’ici qui, chaque (…)